Les mois passent et mon rôle ne me suffit plus à me dépenser, je marche, j'erre sans but, sans objectif. Mon sang stagne, je me sens inutile. Mais cela n'a plus d'importance car l'odeur de gibier attire mona ttention, je sais ce que je dois faire, pourquoi me reposer sur les autres alors que mon instinct de chasseur me demande de tuer ? De me dépenser et de faire vivre ceux qui m'entoure, mais aussi pour me redonner le goût de la liberté, car ainsi, je retrouve ma vrai nature, le solitaire qui vie en moi. Parce que je dois être plus fort pour elle, pour qu'on soit unis a tout jamais.

J'avance, la tête haute, le regard fière, je me rend dans les bois pour procéder à ma chasse, pour me dépenser et offrir à mon corps l'adrénaline qu'il recherche.

marchant sur la mousse, j'explore, je renifle, je ne trouve rien. Je continu mon chemin, jusqu'à ce que l'odeur d'un lièvre attire mon regard. J'approche, je le vois, il est bien gras, au milieu des fougères, il mange des feuilles. je bandes les muscles, retient ma repsiration, mon esprit ne fait plus qu'un avec la terre, avec tout ce qui m'entour, je deviens la terre. Jattend encore, le vent tourne un peu, sans montrer ma présence, je retient mon souffle et la... je saute sur ma proie. Prenant son cou dans ma mâchoire, je serre et entend sa nuque se briser. Je la porte jusqu'à la tanière, la dépose sur le tas de gibier et repars fière de ma journée. Ce n'était pas grand chose, mais je me sentais remplis d'énergie.

J'avais décidé de me promener, d'être un peu seul, de profiter du calme comme par le passé, quand je vivais avec ma soeur avec simplicité. Je vagabondais sur notre territoire, espérant trouver une proie. Je ne perd pas espoir, et puis ce n'est qu'une question de chance après tout, je marche, encore et encore, jusqu'à ce que mes pattes soit trop faible pour continuer, mais même la encore, je continue mon avancé, j'ai passé la journée dehors, à me promener, sans rien trouver, le soleil décliné, l'appel du soleil se faisait bien plus faible. Je commençais à rentrer doucement, saluant ceux que je croisais en évitant chaque corps, chaque obstacle qui se trouvais sur ma route, je rentrais doucement, en faisant des pauses de temps en temps. Puis alla me coucher vers ma famille dans la tanière.

J’étais sortit de la meute pour aller chasser. Il pleuvait, mais je devais tout de même essayer. Je marchais doucement, sentant l’odeur de sanglier, il y en avait plusieurs, je les avais repérés, mais je devais tout de même essayer d’en choper un. Il semblait y avoir une femelle pleine pas très loin, plus éloigné des autres. J’approchais doucement, marquant une pause tout en bandant les muscles. Puis je me mis à lui courir après en lui mordant violemment le fan, elle me pousse, je me cogne contre un arbre mort, je perds un peu de sang, mais rien de bine grave, enfin je suppose. Je continue ma chasse, elle se met à fuir, parce qu’elle a peur, elle veut mettre bas et protéger ses petits. J’essaie de l’attraper, mais d’un coup, elle se met à me charger et les autres sangliers l’accompagne. Je me retourne et fuit le plus rapidement possible jusqu’à retourner à la meute.

J'étais sortis pour aller chasser, me défouler, au loin, je vois un sanglier, sans attendre, je lui cours après, il m'avait vu, je ne devais pas le perdre, le soleil était encore haut dans le ciel, je sentais que ma force était plus importante. Je ne cesser d’accélérer, puis lorsque je fut assez proche, je voulais lui sauter dessus, lui mordre le cou et le tuer, mais il pris un passage que je n'avais pas vu, j'essaie de tourner, mais je finis par glisser sur la mousse et perd en vitesse. J'essaie ant bien que mal de le choper, mais il était déjà loin.

De nouveau en terrain de chasse, je prend le temps d'humer l'air et sens la divine odeur de blaireau. Je me dirige vers sa tanière et la trouve bouché. je savais que ces créatures aimait se planquer. Comme j'avais appris, je creuse un peu, retirant les brindilles pour laisser entrer la lumière et me cache en attendant qu'il sorte. Je bande les muscles et attend de longue minutes jusqu'à voir sa truffe. Posant mes larges pattes sur sa queue, je plonge ma machoire dans sa chaire et lui brise le cou avec beaucoup de force. Portant le lourd cadavre, je le dépose à la meute.

Partis chassé depuis l'aube, je voulais profiter des rayons du soleil pour chasser tranquillement. J'avançais dans le bois, sans entendre un bruit, un son, tout était calme, serein, c'était agréable en sois. Je marchais tranquillement, en reniflant un peu partout jusqu'à sentir la présence d'une proie, c'était celle d'un lièvre. Me cachant derrière un immense rocher, je jetais quelques regard par dessus pour voir ma futur victime. Il ne se doutais de rien, et en quelques seconde il serait mort. Remuant les épaules, je sors de ma cachette et saute sur la petite créature, lui arrachant la tête.

La vie devenait compliqué, Mahina et moi avions réussi a se rapprocher, mais tout avais un prix et j'avais besoin de me dépenser pour passer à l'action. Je marchais tranquillement, la tête basse, je n'avais pas forcément besoin de chasser, juste de me changer les idées, de voir autre chose que la meute. Un soupir sort de ma gueule, je ne sais plus vraiment qui je suis, je ne sais plus ce que je dois faire, la journée se termine sans que rien ne soit arrivé jusqu'à moi.

J’étais partis chasser, je marchais doucement jusqu’à sentir une proie, c’était une petite belette. Je le suivais, il marchait doucement, comme s’il cherchait quelque chose. Je ne devais pas faire de bruit, je devais restait discret, c’était primordiale. Lorsqu’il s’arrêta, je me cachais derrière un buisson. Je respirais doucement, laissant les secondes défiler, puis lorsque la proie allait repartir, je laissais mes membres prendre le contrôle et ma tête plongea sur son cou et une partie de son corps. Sa nuque se brisa et le tua immédiatement. J’apportais la petite bête à la meute.

j'étais sortis de la meute, je profitais du temps grisâtre, il y avait une pluie fine, mais douce. J'étais retourné au bois et sentis l'odeur d'une biche. On approcha rapidement, bandant les muscles, je devais rester concentré, cela était important. Je pouvais sentir son odeur, elle avait une douce odeur, c'était délicieux. J'allais lui sauter dessus, lorsqu'elle se mit à courir lorsque j'ai fais du bruit. Je la coursait, puis, elle me donna un coup de sablot alors que j'étais trop prêt et cela me destabilisa, ma vue était légèrement brouillé et la biche loin de moi. C'était fini

J’étais sortis de la meute, je devais attraper une proie, je devais aider les miens. Je me suis mis a pourchasser une biche que j’avais vu, je ne devais pas me laisser avoir, je devais me dépêcher et ne pas me laisser berner. Le sourire sur les babines, je m’approche doucement de ma proie, je vais l’avoir, mais elle redouble d’effort, elle sillonne entre les arbres, elle met de la distance entre nous, je dois l’avoir, je dois gagner, mais je n’y arrive pas, je finis par me laisser distancer, je me sens faible, mais au moins, j’ai pris un peu de muscle et elle fera plus de petits pour nous nourrir.

Je partis chasser, de nouveau pour aller nourrir la meute, l’hiver approche, il fait froid et on a besoin de nourriture. J’avais suivi un rapace qui chassait sa proie, il tournait autour, on l’avait vu depuis un long moment. Se cachant, avant qu’il ne se jette sur sa proie, je me lance sur le lièvre, l’attrapa par le cou et observa le faucon partir de nouveau. Je brise la nuque du lièvre et l’apporte à la meute en le posant sur le garde-manger.

Partie chassé à l'aube, je me concentré sur la fouine que j'avais vu quelques minutes plutôt. Elle était petite, mais c'était faisable de l'attraper. Mais elle me manqua de peu, je continuais d'avancer, repérant cette fois une belette. Le regard plongé sur ma cible, j'attend, avant de lui sauter à la girge. Je march e doucement avant de lui sauter dessus et de lui tordre le cou pour le rapporter à la meute.