L'hiver était de retour et je devais chasser pour ne pas mourrir de faim. Je n'ait pas peur de mourir, car j'ai du mal a la ressentir, mais au moins si je mourrais je n'aurais pas peur. J'avançais doucement, je ne disais rien, j'allais beintot partir en chasse pour ma propre survis. Je voulais partir de la tanière pour vivre ma propre vie, mais j'étais toujours apprenti et donc je devais rester, comme si j'étais prisonnière.

Sortis depuis quelques minutes. Au loin, je sentais l'odeur d'un lièvre, j'approchais doucement, me cachant derrière un rocher La tête par-dessus ce dernier j'observais Il y en avait deux en réalité, deux lièvres s’abreuvant dans un petit ruisseau. Je les regardais, mon corps s'abaissait jusqu'à frôler le sol. Contournant le rocher, j'approchais doucement, laissant mes muscles se tendre de plus en plus jusqu'à atteindre leur limite. Griffant le sol, j'échauffais mes épaules. Ma respiration devenait faible, imperceptible. Enfin, c'est ce que je pensais. Un des deux lièvres releva la tête, tournant, ses oreilles dans ma direction. Mes yeux étaient devenus ronds, sans hésiter une seule seconde, je bondissais sur l'un des deux corps. Mes crocs transpercèrent sa chair, lui ôtant la vie.

Sortis pour chasser, j'avancer dans l'herbe, j'avais sentis l'odeur de plusieurs lièvres. Il n'y avait plus grand chose à chasser avec la saison froide, je devais donne faire avec ce que je trouvais. Je me positionnais pour attraper au moins un des deux lièvres qu'il y avait. Bandant les muscles de mes pattes, mon corps sauta rapidement sur les deux, jugeant assez mal la distance, mes crocs se fermèrent dans la poussière, j'avais fait tellement de bruit, que les deux ont eu le temps de s'enfuir dans leur terrier. .

Humant l’air, j’analysais toutes les odeurs. Approchant d’un coin d'eau, je lapais l’eau pour hydrater mon corps qui avait bien travaillé durant ce moment intense ou la vie pouvait me quitter en quelques secondes. Le bruit d’un canard attira mon attention, pénétrant dans l’eau clair, je laissais mes membres dans ce fluide, marchant doucement sans faire de bruit. Derrière les roseaux, je voyais ces petites créatures avec une tête verte, ils étaient beaux, mais aussi très appétissants. C’était le moment d’attraper ce volatile qui allait nourrir, ouvrant la gueule, j'arrive à l'avoir.