La lune, qu'elle était belle ce soir. Plus je la regardais et plus je me demandais pourquoi je ressentais comme un sentiment de familiarité. Je réfléchisssais longuement, je n'arrivais des fois pas à fermer l'oeil de la nuit tellement je réfléchissais, mais toujours rien. Je savais bien que personne à par moi pouvais répondre à ma question. Mais il était déjà trop tard ou beaucoup trop tôt pour que je reste ici. Je me leva et fit donc le chemin inverse de celui empreinté il y a quelques heures. Ce chemin était toujours le même car  j'avais trouvé l'endroit idéal pour observer la lune. Sur la plage rocheuse la vue était dégagé et tout simplement magnifique.

Le soleil venait tout juste de se lever quand j'arriva à la pouponnière. J'avoue que j'étais un peu fatigué. Mais au moins, j'allais bien commencer cette nouvelle journée ! Pourquoi ? Car la lune me calme donc, pas d'onde négatives ! Quand je me suis couché sur le sol, je mettais tellement affalé qu'on aurait dit une otarie. Et je ferma les yeux et je m'endormis tout de suite. Pas pour longtemps, malheureusement. Je sursauta d'un bond quand j'entendis la voix de papa. J'étais si fatigué que je ne l'avais pas entendu arriver. Et oui, il avait tout compris. Il me connaîssait par cœur maintenant. Il sait pertinament ce que je fais presque toutes les nuits. Mais papa n'était pas comme ça. En revanche, je voyais de temps en temps maman se promenais la nuit tombé, mais jamais lui. Il avait dû déjà donner ses ordre aux autres sentinelles. Papa était le chef, le big boss des sentinelles ! J'étais fier de mon papa, comme il l'était tout autant pour moi.  J'étais debout maintenant donc, autant lui faire la cosette.

- Affirmative, je ne peux plus rien te cacher.

Et nous continuâmes donc à parler de tout et de rien. Plus je pensais et plus je me disais que se serait bien de passer un peu de temps avec papa. Je n'étais plus vraiment fatigué. Lui parler ma redonné de l'énergie ! Et puis, faire une matinée père-fille c'est cool, non ?

Papa était mon rayon de soleil de tout les jours. Quand je suis triste, énervé, fatigué, il suffisait d'un simple regard pour tout oublié. J'aimais aussi de tout mon cœur maman, mais... Je ne faisais pas les même choses qu'avec lui, notre relation était différente. Mais, je ne pourrais l'expliqué. Si un jour je perdrais papa, je ne pourrais jamais me le pardonner, jamais. Il est trop précieux pour moi. Mais je ne m'en fais pas trop, il est fort, vaillant. Toutes les qualités lui vont, finalement.

Quand il me proposa d'aller chasser avec lui, j'étais au ange. Chasser avec papa ? Je ne l'avais que rarement fait. Je chassait plus avec tata et maman. Mais si c'est avec papa, c'est forcément bien ! Comme réponse, je lui souris. Puis, il s'en alla, comprenant mon geste. Et oui, on se comprend parfaitement lui et moi, c'est fou. Je le suivis sens hésiter et nous sortâmes de la tanière.

Quel proie je voulaient chasser ? Je ne sais pas... Il y a tellement d'animaux différents ! Je ne les connais évidemment pas tous. Mais j'avais déjà une petite idée. Il y avait un animal que j'aimais particulièrement. Il s'agit du cerf. Cette animal aussi mystique que majestueux avec c'est grand bois. Je ne peux pas m'empêcher de l'adoré ! C'est bizarre mais, plus le l'adore plus j'ai envie de la chasser. Ce serai un grand honneur de le chasser et surtout de l'attraper. Mais je sais que cela est quasi impossible. Il faudrait prendre beaucoup de risque. Je ne pense pas que papa va accepté... Mais se serai tellement bien... Et si, il disait oui ? Autant essayé.

- J'ai un animal qui me vient à l'esprit, mais je ne sais pas si tu seras d'accord. Je parle de cerf.


C'est sûr à 99, 999999% qu'il va dire non. Je le sais, j'en suis persuadé. Il ne va pas risquer sa vie pour un caprice de sa fille, quand même. Peut-être que je le sous-estime ? Oui, il va peut-être n'en faire qu'une bouché. Mais si je chasse avec lui, je vais sûrement le gêné...

- Mais on peut aussi laisser le cerf de côté et voir sur place qu'elle animal chasser. Tu n'est pas du touuuut obligé de dire oui tu sais. Enfin après fait comme tu veux, c'est toi le chef et...

Il fallait mieux que je me taise. J'avais dit trop de bêtise pour la journée. J'ai dis juste ce qui ne fallait pas. Je ne sais pas quoi faire. Mais, vous ce que j'ai fais, mieux ne vaut rien faire et laisser papa parler. Ensuite on pourra aller chasser. Mais, aller chasser quoi ?