Le lendemain, je me rendis approximativement au même endroit, la chasse d'hier était fleurissante, mais javais dans l'espoir d'attraper quelque chose de beaucoup plus gros cette fois-ci, une chose qui ne serait pas terminé en trois bouché. Trottinant tranquillement, le vent m'apporta l'odeur alléchante d'un troupeau de biche. A cette période de l'année, elles avaient des petits, des proies faible et facile à attraper. J'approchais de cette mine d'or et observait ce qu'il y avait. Deux trois faons jouaient ensemble assez éloigné du reste du troupeau pour en abattre un et fuir rapidement avant qu'ils ne m'écrasent, puis revenir après pour récupérer la ma proie.
Dans mon esprit ce plan était génial, mais il y avait toujours des imprévus dans chaque plan. En m'approchant encore un peu, le vent tourna doucement et je n'avais pas fait attention à ce détail, me plaçant pile devant, chaque cervidé releva la tête et pointa cette dernière dans ma direction. Je ne bougeais plus d'un poil, mais mon pelage blanc venait de trahir ma présence. les faons partirent rejoindre leur parent et les cerf commencèrent à charger dans ma direction.

Tenant à la vie, je pris la fuite, laissant s'échapper mes douces proie pour rejoindre les miens.

Je faisais une ronde matinale, comme chaque jour, ou du moins lorsque j'en avait l'occasion. Après m'être bien étiré, j'ai rpis la liberté de faire le vide dans mon esprit pour pouvoir chasser librement. C'est en marchant tranquillement que j'entendis un bruit de feuille. Me concentrant sur cette odeur, j'approchais doucement, je voyais parfaitement la petite créature qui cherchait de quoi manger. Je restais à ma place, le moindre faux pas pourrait la faire fuir. C'est bestiole possède une ouïe particulièrement fine.

Lorsqu'elle eu le dos tourné, mon corps se jeta sur celui de la petite fouine, et mes crocs transpercèrent sa chair. C'était petit, mais c'était mieux que rien et ceci allait nous faire survivre encore un peu.

Ce jour-ci, je sentais l'adrénaline monter en moi, j' avais besoin de partir, de me dépenser. La rage prenait de l'ampleur et je voulais sentir le goût du sang dans ma gueule. Une biche passa devant moi, et d'instinct, sans chercher à comprendre quoi que ce soit, je me mis à la chasser, à la traquer comme une bête sauvage. Elle m'avait entendu trottiner, et elle avait fuit, mais je ne voulais pas la laisser fuguer sans rien faire, je devais vaincre, être plus rapide qu'elle. Connaissant les environs, je pris un autre chemin, un raccourcis. ne me sentant plus derrière elle, la créature ralentit la cadence. Je suis plus haute, d'un bon mètre, je la voix entre le feuillage, les pierres trahissent ma présence et la biche se remet à courir rapidement, sauf que j'avais réussi à la dépasser de quelques centimètres et sans peur, sans penser au conséquence, je saute sur son dos en plongeant mes canines dans sa chair. Le sang coule, elle tombe sur le sol, je manque de me casser une patte tombant avec elle. Je lui brise le cou avant de la ramener à la meute.

Cela faisait plusieurs jours que je n'étais pas partis chasser, mes rencontrent passé avait changé bien des choses, mais j'étais toujorus déterminé à faire payer l'alpha Akatsuki. Mais en attendant, je devais m'occuper des miens, les rendre plus fort et pour cela, je devais les nourrir, faire monter leur rage de vaincre, les rendre glorieux.

Partis à l'aube, j'humais l'air, c'était moins intense que ma précédente chasse et ce n'était pas plus mal. Comme m'avait dit Menhit, je devais me contrôler, rester zen en quelques sorte. L'odeur d'un lièvre attira mon attention, les oreilles droite, la tête haute, j'approchais doucement, sans faire de bruit jusqu'à voir son terrier. A cet instant, je me mis à creuser pour faire un trou plus grand sans chercher à mettre ma machoire à l'interrieur, de sorte à piquer sa curiosité et à voir sa tête sortir. Je me cachais juste au-dessus de ce dernier, attendant patiement. Lorsque je vis ses oreilles, ma machoire se referma sur ces dernières et le tira hors de son trou. La créature bougeait dans tout les sens, lançant cette dernière dans les airs, pour la ratraper au milieu du corps, le lièvre se vida de son sang, son pouls ralentissaient et devint nul. rapportant cette victoire à la meute, j'étais heureuse.

Etant d'humeur à aller chasser, j'étais partie de bonheur, de manière à ne pas entraver mon devoir de meneuse. J'humais l'air et pour le moment, rien n'attira mon attention. J'approchais doucement de la mer où je vis plusieurs canard. Le fait que la plage soit un endroit à découvert, je n'avais d'autre choix que de m'approcher discrètement de la mer. Plongeant mes pattes dans l'eau, je laissais la fraîcheur envahir mon corps. Plus je m'enfoncerais, moins je serais amovible. Je devais donc rester à une certaine profondeur et attendre qu'ils approchent suffisamment.

Les minutes défilaient, et lorsque le moment fut opportun, je tentais de bondir, mais dans le liquide incolore, ma puissance était diminué. Les canards ont eu le temps de me voir sauter et tous prirent leur envole. Le corps complètement immergé, je me relevais doucement et gagna la plage pour me secouer et me faire sécher. Ce n'était pas vraiment fructueux aujourd'hui.

Je marchais doucement, humant l’air des environs, je sentais la présence de volatile, d’écureuils, ça sentait bon. Je me cachais, entre les arbres. Observant les petits mammifères qui se trouvaient près d’un arbre à quelques mètres de moi. Je restais sur place, analysant la situation qui se présentait à moi.

Ils jouaient tous les deux, se courant après et se cajolant entre leurs petites pattes. C’était tendre à voir, j’approchais, me cachant derrière un autre arbre, laissant les deux petites choses jouais sans sentir ma présence. Mon avançais été uniforme, j’attendais le moment propice pour sauter sur les deux petits mammifères. Mes membres devenait plus ferme, mes muscles étaient tendu, je ne voyais plus que les deux écureuils, plus rien n’existait atours de moi, ni le vent, ni la végétation, j’étais seule avec ces deux proies.

Quelques secondes après, je bondissais sur les deux corps, tenant un écureuil par la queue, l’autre dans ma gueule. La petite femelle me faisait mal au cœur de la voir ainsi, mais je n’avais pas le choix, après avoir lâché le mâle de la gueule, ma mâchoire se plaça autour du cou de la petite chose et brisa la colonne vertébrale. Une larme coula, je ne voulais pas le tuer, mais je devais aider ma meute à survivre. Je portais les deux proies par la queue et les déposai avec les autres gibiers.

Une nouvelle fois, je partis chasser de bonheur, avant que le soleil ne se lève. Je trottinais doucement, échauffant mon corps avant de commencer ma chasse. J’avançais entre les arbres, explorant les environs, reniflant les diverses odeurs de la faune. J’approchais du territoire d’une moufette, je me tenais prête à sauter dessus, mais je devais faire attention pour ne pas me louper, sinon j’allais me faire asperger d’une mauvaise odeur pour très longtemps. J’attendais quelques secondes, puis quand elle fut retournée, je bondissais dessus, attrapant son cou pour la décapiter et ne pas me faire asperger de son fluide puant. Apportant ma proie à la meute, j'étais heureuse de ce que j'avais trouvé, c'était peu, mais c'était toujours mieux que rien. Mais je voulais faire plus, alors je partis de nouveau en quête d'un nouveau trésor.

Sillonnant de nouveau les herbes, je sentis l’odeur d’une pie. Je m'approchais de l'odeur d'où provenait l'odeur de ce volatile. Lorsque je l’aperçus, elle boitait sur le sol, je me cachais derrière un arbre, bandant les muscles de mes pattes. Je bondis sur son petit corps plumeux, mordant son petite corps bicolore pour la tuer. J’apportais ma seconde proie, à la meute. J'avais encore assez d'énergie pour chasser encore un peu, mais je devais aussi respecter la faune, tuer pour le plaisir m'étais pas une bonne chose. Notre garde-manger prenait de l'ampleur et c'était une bonne chose.

Au fond de la nuit, tel un esprit de la forêt, je me suis évadé de ma tanière pour aller courir sous le clair de lune. Mon cœur s’emballait sous la douce odeur des proies vivant la nuit. Je m’arrête pour mieux sentir, faire moins de bruit et surtout me calmer. J’inspecte les environs et sens la douce odeur d’une chouette ? Comment cela était-il possible ? Je m’avançais ralentissant mon rythme cardiaque. Je le voyais sur le sol, à travers de haute herbe, elle avait une aile brisée et essayait de retrouver son nid. Elle n’allait pas survivre très longtemps alors je fis mon devoir. Laissant mes sens m’enivrer, j’avançais doucement, bandant mes muscles jusqu’à attendre qu’elle ait le dos tourné. Ses serres ne restaient pas moins redoutables, je devais faire attention qu’elle ne me les enfonçait pas dans ma chair. Elle tomba sur l’avant, c’était ma seule chance. Je bondissais sur son petit corps et la tuai en un coup de mâchoire dans l’abdomen. J'apportais cette proie à la meute tout en prenant le temps de saluer les sentinelle et leur dire que je partais de nouveau chasser.

J'avais besoin de sentir le vent sur mon pelage, je voulais ressentir cette sensation de liberté et vider mon esprit de toute les choses triste qui m'était arrivé. e m’enfonçais de plus en plus entre les arbres en restant sur mon territoire. Je finis par sentir l’odeur d’un blaireau. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas chassé un tel animal. Cela me ferais du bien un peu de défis. Mon désir de réussite fit que je me lançais dans sa direction. J’entendais son cœur battre doucement, me positionnant, je le voyais la truffe au sol pour trouver de la nourriture. Je devais attendre le moment propice, ils étaient redoutables ces mammifères. Le vent à contre-sens, je sautais sur son corps en empoignant sa gorge avec mes crocs. Je les enfonçais jusqu’à ce que la créature ne bouge plus et ne donne plus aucun signe de vie. J'apportais cette seconde proie à la meute, et après c'est deux victoire, je pris la décision d'aller me reposer pour attaquer une nouvelle journée le lendemain.

Alors que je marchais, je me mis à contre vent, pour faire disparaître mon odeur. Faufilait sous les buissons. Je regardais une famille de lapin en train de chercher de quoi manger. Je restais là un moment, oubliant ma propre présence. J’avais réussi à les approcher sans me faire repérer, cela était une bonne chose pour le moment. J’attendais encore un peu, bandant mes muscles. Je devais savoir où j’allais atterrir et la trajectoire de l’animal pour réussir ce coup. Le souffle court, les petites brindilles bougeaient sous mon souffle. Je ne regardais plus que mon objectif, oubliant ce qui m’entourait. Mais je ne pris pas le temps de vérifier le bruit que je faisais en respirant. Je n'avais pas pris en compte ce paramètre qui les fit relever la tête dans ma direction et fuir par la même occasion.

Lorsque je me rendis vers une clairière, je vis une biche seule, elle broutait tranquillement, sans sentir le danger venir doucement. Je m’approchais doucement, me mettant du bon côté par rapport au vent, pour pas que la créature me sente venir. J’approchais doucement, la regardant, je ne faisais plus qu’un avec la terre, avec la nature. Tout ce qui se trouvait autour de moi disparaissait doucement, laissant place à un grand vide. Approchant encore de quelques centimètres, elle releva la tête et mon corps se propulsa sur son dos. Elle tenta de me faire lâcher prise, puis elle tomba sur le sol. Sa respiration était rapide, je le sentais, mais je devais nourrir les miens et la tua sans al faire souffrir.

Rapportant sa dépouille à la meute, je partis une nouvelle fois à la recherche d’une douce proie. Me retrouvant non loin d’une mère sanglier accompagné de ses petits. Je les suivais de loin sans me faire repérer. Lorsque la femelle eu le dos tourné, je m’approchais d’un peu plus prêt. Je les avais suivis durant plusieurs heures, jusqu’à une tanière. La nuit tombée, j’avançais dans la petite tanière et attrapa par la gorge un des petits marcassins. Le craquement fut si rapide, qu’il n’eut pas le temps de voir la vie le quitter. Mais la mère qui avait l’ouïe beaucoup plus fine, se réveilla rapidement. Je pris la fuite immédiatement pour retourner à la meute le plus vite possible et fuir la mère en furie.

J'étais partie en pleine nuit, à la recherche d'une proie, de quelque chose qui puisse nourrir les miens. Je marchais depuis des heures, je ne sentais rien, aucune odeur ne parvenait à mes narines, comme si tout était mort, où qu'ils avaient fuit avant que je n'arrive. Je ne sais pas combien de temps j'avais marchais, mais j'avais fais plusieurs fois le même tour, je partais dans tout les sens, restant du mieux que je pouvais silencieuse, mais il n'y avait vraiment rien, aucune âme qui vivent.

Finissant par rentrer à la meute, je saluais tout ceux que je croisais, il y avait peu de canidé réveillé, juste des sentinelles, quelques chasseurs, j'espérais qu'ils ait plus de chance que moi finalement. Je n'avais pas eu vraiment beaucoup de chance ce soir avec la chasse, mais au moins, j'avais pus me promener et prendre l'air. Cela m'avait du bien de faire autre chose, de me détendre et de profiter de cette fraîcheur.

Partis avant l'aube, je m'étais aventurée dans les sous bois, j'humais l'air, à la recherche d'une douce proie, une tendre proie. Quelques chose qui me fasse frissonner les papilles, que je puisse faire saigner jusqu'à ce que leur pouls de ma victime ne devienne qu'un simple souvenir.

Parcourant les environs, je sentis l'odeur d'un lièvre. J'approchais doucement, pour cacher ma présence, peu à peu, j'avançais, sans faire de bruit. A cet instant, je vis la créature, un grand lièvre, avec de grande oreilles, il était beau et sa chair était bien ferme. Il allait pouvoir nourrir un grand loup, mais pour cela, je devais l'attraper. Bandant mes muscles, je m'accroupissais, laissant ma respiration devenir plus faible, puis lorsque je sentis le bon moment, avant que le vent ne tourne en ma défaveur, mon corps se jeta sur celui du lièvre, ma mâchoire se plaça sur son visage, et d'un coup de crocs, je venais de réduire en pâté une partit de son crâne.

Rapportant ce premier butin à la meute, je partis immédiatement après, le soleil était déjà bien haut, mais j'avais encore du temps. Humant de nouveau l'air, l'odeur nauséabonde d'un blaireau attira mon attention. Sa présence était vraiment pestilentielle, mais cela restait un bon repas, de la chair bien grasse, je devais en profiter. Bandant mes muscles, je ne bougeais plus, il était sur le côté, il suffisait qu'il tourne la tête pour me voir et tout serait fini. Je devais l'avoir avant qu'il ne plonge dans sa petite tanière. Lorsque le moment fut bon, j'attrapa son derrière et le balança de l'autre côté pour pas qu'il me griffe. Puis, je lui mordit la peau du cou pour le déchiqueter, jusqu'à le frapper contre des rocher pour le tuer au plus vite avant qu'il ne me crève un oeil.

Une fois morte, j'apportais sa dépouille à la meute.

J'étais sortis pour me promener, je voulais me détendre et me rouler dans la terre. C'était une sensation agréable de sentir la poussière s'incruster dans mon pelage, j'aimais bien, mais de fois je trouvais que c'était pénible. Je soupirais doucement, laissant mon souffle s'enfuir dans l'atmosphère. J'approchais d'un endroit où la végétation était peu abondante et m'allongea pour me rouler avec douceur et amusement. L'odeur d'un lièvre attira mon attention, je me relevais vite, mais je n'avais pas remarqué que ce dernier était vraiment proche, il s'enfuyait en voyant la poussière volait dans l'air. Je me relevais pour tenter d'attraper quelque chose de potable avant de rentrer à la meute, une petite chevrette attira mon attention, j'approchais et en sentant le pollen, j'éternuais doucement, faisant fuir une seconde proie. Même si mes proies n'avait pas fini dans ma gueule, k'avais pu me détendre, et profiter un peu du beau temps. Cela faisait du bien et j'étais prête a retourner auprès des miens.