j'étais sortis de la meute, je profitais du temps grisâtre, il y avait une pluie fine, mais douce. J'étais retourné au bois et sentis l'odeur d'une biche. On approcha rapidement, bandant les muscles, je devais rester concentré, cela était important. Je pouvais sentir son odeur, elle avait une douce odeur, c'était délicieux. J'allais lui sauter dessus, lorsqu'elle se mit à courir lorsque j'ai fais du bruit. Je la coursait, puis, elle me donna un coup de sablot alors que j'étais trop prêt et cela me destabilisa, ma vue était légèrement brouillé et la biche loin de moi, partit avec son faon. C'était fini

Partie chassé à l'aube, je me concentré sur la fouine que j'avais vu quelques minutes plutôt. Elle était petite, mais c'était faisable de l'attraper. Mais elle me manqua de peu, je continuais d'avancer, repérant cette fois une belette. Le regard plongé sur ma cible, j'attend, avant de lui sauter à la gorge. Je marche doucement avant de lui sauter dessus et de lui tordre le cou pour le rapporter à la meute. Puis je partis de nouveau pour aller chasser. Je prend le temps d'humer l'air et sens la divine odeur de blaireau. Je me dirige vers sa tanière et la trouve bouché. je savais que ces créatures aimait se planquer. Comme j'avais appris, je creuse un peu, retirant les brindilles pour laisser entrer la lumière et me cache en attendant qu'il sorte. Je bande les muscles et attend de longue minutes jusqu'à voir sa truffe. Posant mes larges pattes sur sa queue, je plonge ma machoire dans sa chaire et lui brise le cou avec beaucoup de force. Portant le lourd cadavre, je le dépose à la meute.

Lorsque je me rendis vers une clairière, je vis une biche seule. Je m’approchais doucement, me mettant du bon côté par rapport au vent, pour pas que la créature me sente venir. J’approchais doucement, la regardant, je ne faisais plus qu’un avec la terre, avec la nature. Tout ce qui se trouvait autour de moi disparaissait doucement, laissant place à un grand vide. Approchant encore de quelques centimètres, elle releva la tête et mon corps se propulsa sur son dos. Elle tenta de me faire lâcher prise, puis elle tomba sur le sol. Sa respiration était rapide, je le sentais, mais je devais nourrir les miens et la tua sans al faire souffrir.

Rapportant sa dépouille à la meute, je partis une nouvelle fois à la recherche d’une douce proie. Me retrouvant non loin d’une mère sanglier accompagné de ses petits. Je les suivais de loin sans me faire repérer. Lorsque la femelle eu le dos tourné, je m’approchais d’un peu plus prêt. Je les avais suivis durant plusieurs heures, jusqu’à une tanière. La nuit tombée, j’avançais dans la petite tanière et attrapa par la gorge un des petits marcassins. Le craquement fut si rapide, qu’il n’eut pas le temps de voir la vie le quitter. Mais la mère qui avait l’ouïe beaucoup plus fine, se réveilla rapidement. Je pris la fuite immédiatement pour retourner à la meute le plus vite possible et fuir la mère en furie.

Après avoir marché durant une bonne heure, je sentis la présence d’un daim. Curieux, je me déplaçais tranquillement sans faire de bruit. Bandant mes muscles, je laissais ma respiration ralentir pour ne faire plus qu’un avec le bruit du vent. Il arrachait l’herbe avec délicatesse et se nourrissait avec appétit. J’approchais encore un peu, bandant mes muscles, faisant corps avec la terre, bondissant de ma cachette, l’animal eu quelques secondes avant de réaliser qui j’étais, il commença à courir, mais les secondes qu’il avait perdues, j’en ai profité pour sauter sur sa croupe et le mordre à pleine dent. Il tomba sur le sol, et à cet instant, mes crocs finirent de l’achever.

Rapportant cette créature à la meute en le tirant par la patte, je partis de nouveau vers un endroit différent, vers une rivière. A peine j’étais arrivé, que j’entendis plusieurs rats musqués dans l’eau. J’approchais doucement, me cachant dans els hautes herbes tout en faisant attention au vent qui était présent. J’en voyais plusieurs, mais j’avais besoin d’un d’entre eux. Lorsque ma proie fut choisie, je bandant les muscles de mes pattes arrière et sauta dans l’eau pour attraper un rat. Sa peau était assez épaisse, mais je pouvais tout de même y planter mes crocs pour le tuer et le rapporter à la meute.

J’étais sortit de la meute pour aller chasser. Il pleuvait, mais je devais tout de même essayer. Je marchais doucement, sentant l’odeur de sanglier, il y en avait plusieurs, je les avais repérés, mais je devais tout de même essayer d’en choper un. Il semblait y avoir une femelle pleine pas très loin, plus éloigné des autres. J’approchais doucement, marquant une pause tout en bandant les muscles. Puis je me mis à lui courir après en lui mordant violemment le fan, elle me pousse, je me cogne contre un arbre mort, je perds un peu de sang, mais rien de bine grave, enfin je suppose. Je continue ma chasse, elle se met à fuir, parce qu’elle a peur, elle veut mettre bas et protéger ses petits. J’essaie de l’attraper, mais d’un coup, elle se met à me charger et les autres sangliers l’accompagne. Je me retourne et fuit le plus rapidement possible jusqu’à retourner à la meute.

Je partis chasser, de nouveau pour aller nourrir la meute, l’hiver approche, il fait froid et on a besoin de nourriture. J’avais suivi un rapace qui chassait sa proie, il tournait autour, on l’avait vu depuis un long moment. Se cachant, avant qu’il ne se jette sur sa proie, je me lance sur le lièvre, l’attrapa par le cou et observa le faucon partir de nouveau. Je brise la nuque du lièvre et l’apporte à la meute en le posant sur le garde-manger.

Sortis depuis quelques minutes, regardant partout autour de moi. Au loin, je sentais l'odeur d'un lièvre, j'approchais doucement, me cachant derrière un rocher La tête par-dessus ce dernier j'observais Il y en avait deux en réalité, deux lièvres s’abreuvant dans un petit ruisseau. Je les regardais, mon corps s'abaissait jusqu'à frôler le sol. Contournant le rocher, j'approchais doucement, laissant mes muscles se tendre de plus en plus jusqu'à atteindre leur limite. Griffant le sol, j'échauffais mes épaules. Ma respiration devenait faible, imperceptible. Enfin, c'est ce que je pensais. Un des deux lièvres releva la tête, tournant, ses oreilles dans ma direction. Mes yeux étaient devenus ronds, sans hésiter une seule seconde, je bondissais sur l'un des deux corps. Mes crocs transpercèrent sa chair, lui ôtant la vie, le second s'en allait en bondissant à travers les arbres. Je ne me démoralisais pas, j'avais réussi à en attraper une sur deux, ce n'était pas si mal. Je rentrais encore une fois à la meute, transportant ma victoire jusqu'au tas de gibier.