Je m'enfonce dans la forêt, je profite de chaque seconde en profitant de l'air frais. Une fine pluie s'abbat sur le contient, je respire et continue d'avancer. Je sens au loin une oie sauvage. Je m'approche doucement, elle est entrain de marcher tranquilement. Je respire doucement, je profite de toute ses senteurs pour camoufler mon odeur de prédateur. Bandant les muscles, je me cache quelques minutes, puis marche très lentmeent derrière elle, je voulais lui bondir dessus au dernier moment, mais ma patte frôla une pierre qui roula sur le sol. L'oie se retourne et m'attaque avec son bec avant de prendre son envole.

je rentre sans rien à la meute.

J'étais sortis chasser, je m'approchais doucement de la proie que j'avais vu, une belle biche, au moment de l'attraper, elle m'avait vu, j'essayais de la rattraper, mais je n'étais plus tout jeune et laissa tomber.En voulant rentrer, je vis un lièvre, bandant les muscles, je pris appuie et l'attrapa d'un seul coup et le tua immédiatement. J'apportais cette proie à a meute, laissant aux autres de le dévorer avec appétit.

J'étais sortis chasser, durant une belle nuit, sous le clair de lune, sentant le vent dans ma pelisse, cela me faisait du bien. Je respirais doucement, sentant la douce odeur d'un faisan. Je le suivais, me cachant au maximum, j'étais à contre vent. Bandant les muscles, je l'attrape et lui tort le cou. Je l'apporte à la meute, la déposant sur le tas de gibier.

À contre vent, l’odeur d’un volatile m’attira. Je marchais dans sa direction, laissant mon cœur se rapprocher du sol, guettant ses moindres mouvements. Bandant les muscles, je me jeta sur ce dernier. Brisant sa nuque, il se laissa mourir sans aucun bruit. Portant son cadavre dans ma gueule, je reprenais ma route pour rentrer.

Sur le chemin du retour, l’odeur d’un lièvre attira mon attention. Posant ma proie sur le sol, je l’enterrais pour cacher l’odeur du sang. Me positionnant à contre vent, je le regardais, entrer et sortir de sa tanière. J’attendais le moment propice pour sauter sur le corps de la bête. Ma respiration devenait faible, mon regard ne voyait plus que le petit mammifère. Je fermais les yeux deux secondes, avant de bondir sur le lapin. Cassant sa colonne vertébrale, son os ressortait de son corps.
J’apporta mon lièvre en premier avant d’aller chercher la pie pour la ramener à la meute

Je m'enfonce dans la forêt, je profite de chaque seconde en profitant de l'air frais. Une fine pluie s’abat sur le contient, je respire et continue d'avancer. Je sens au loin une oie sauvage. Je m'approche doucement, elle est entrain de marcher tranquillement. Je respire doucement, je profite de toute ses senteurs pour camoufler mon odeur de prédateur. Bandant les muscles, je me cache quelques minutes, puis marche très lentement derrière elle, je voulais lui bondir dessus au dernier moment, mais ma patte frôla une pierre qui roula sur le sol. L'oie se retourne et m'attaque avec son bec avant de prendre son envole.

J'étais sortis pour chasser, la meute avait besoin de proie, j'e devais aider les chasseurs, c'était mon devoir. J’aperçus un rapace au loin, il tourner autour d'une vieille proie, vu l'odeur, elle était encore mangeable, je devais la prendre avant lui, c'était un lièvre. Je bandais les muscles et alors que je m'élançais pour voler ce cadavre, le rapace l'attrape à ma place et s'envole sans que je ne puisse faire quoi que ce soit.

Partit en pleine nuit, j'étais à la recherche d'une proie pour la meute. Ayant repéré une chouette dans un arbre. J'avais décidé de l'attraper lorsqu'elle tentera d'attraper son mulot. Bandant les muscles, mon regard était fixé sur le volatile. Bandant les muscles, mon corps se jeta sur elle lorsqu'elle vola en direction du sol, les serres sortit, prêt à attraper son repas. Mes crocs en avant, j'étais à deux doigts de l'avoir, lorsque cette dernière planta ses serres sur mon museau, me faisant fermer la gueule. Un grognement sortit et la chouette partie dans les airs sans laisser de trace. Je venais d'échouer.