Tu laissas ton corps te guider. Tu te sentais légère comme une plume. Tu aimais cette sensation de liberté, alors tu courrais. Laissant ton corps à la dérive pour mieux ressentir le vent dans ton pelage. Levant la truffe tu sentais l'odeur d'un gros moineau près à assouvir les grognements des estomacs de t'es camarades. T'accroupissant, tu effleurais le sol pour mieux te déplacer en cachette. Silencieuse, tu observais avec la plus grande attention que tu connaissais. Bandant t'es muscles, tu sautas sur la proie, mordant fortement jusqu'à écraser son cœur entre tes crocs. Tu portas le gibier, la tête haute, fière de ce que tu avais attrapé en ce jour merveilleux. Enterrant la petite proie, tu exploras le reste des environs, cherchant une autre bête à tuer pour apporter encore plus de nourriture auprès des tiens. Tu avançais, les oreilles droites, prête à saisir chaque occasion. Alors que tu marchais doucement, une petite motte de terre attira ton attention. Tu creusas légèrement, bandant tes muscles, attendant que la créature vienne boucher le trou pour caché les rayons du sol. Quand tu aperçus la truffe de ton ami la taupe, tu laissas ton corps se détendre pour tirer l'animal hors de son terrier. Tu donnas un coup de mâchoire si violent, que le rongeur se vida de son sang.

Sortis chasser, je sentis l’odeur d’un cerf dans une clairière, je m’approche et vois la créature majestueuse. Je bande les muscles et lui cours après, le mordant sur les membres pour qu’il s’écroule sur le sol en évitant ses bois. Je fini par le tuer en le mordant à divers endroits et en lui tordant le cou. Je le tire jusqu’à la meute et part immédiatement après. Je sens l’odeur de lièvre, je m’approche de la petite tanière et sens la présence de plusieurs mammifères. Je m’approche, puis bande les muscles, les oreilles droites, je bande les muscles avant de me jeter sur les deux créatures en empoignant leurs deux oreilles, j’écrase contre un rocher les deux lièvres pour les tuer et les ramener à la meute.
Je retourne à l’extérieur de la meute et entend des battements d’aile. Je lève la tête et vois un faucon voler en rond autour de quelque chose, j’approche et vois un Lièvre blessé à vue d’œil. Soudain, le volatile fonce sur le lièvre blessé. Je me met à courir et sans m’en rendre compte, j’ouvre la gueule, attrapant le faucon en plein piqué. Ses serres était planté dans le lièvre qu’il avait tué. J’apporte les deux proies à la meute heureuse des prises du jour.

J’avançais d’un pas lent, faisant attention aux moindres cailloux sur le sol. A contre vent, je guettais ses moindres mouvements. Diminuant ma respiration, je ne voulais pas rater cette prise du jour. Laissant mon instinct de prédateur me guidait, j’avançais entre les arbres. Il mangeait tranquillement. J’approchais encore et avant qu’il ne sente ma présence, je lui avais sauté sur l’encolure et mordais férocement sa peau. Traversant sa chair, je poussais avec mes pattes avant et arrière, créant ainsi une force opposée qui brisa sa nuque. La bête tomba sur le sol avec moi. J’eu du mal à me relever, mais je n’avais eu aucune blessure. Cette action avait fait du bruit et je voyais bien les autres mammifères s’en allait devant la mort qui leur pendait au museau. Je tirais le chevreuil jusqu’à la meute pour le déposer avec les autres proies que les chasseurs avaient attrapé.

Je retournais par la suite me mettre à la recherche d’autre chose d’aussi appétissant. Je longeais les ruisseaux. Plongeait mon museau sur la terre et la mousse avec espoir de croiser quelque chose. Non loin de là, se trouvait un gros lièvre. Le corps contre le sol, je rampais, emmenant avec moi toute la poussière qui coloriait mon pelage. Sans perdre une seconde, je lui saute dessus, le tuant sur le coup. Je le portais avec fierté, c’était beaucoup plus léger que ma précédente proie. Je rentrais heureuse à la meute, déposant ce corps sans vie sur la pile de carcasse.

J'étais partis chassé de bonheur cette nuit, j'avais quitté la meute alors que la lune venait à peine d’apparaître et qu'il fiasait suffisamment noir pour laisser au créature de la nuit le temps de sortir. J'avais en vue un hibou, je l'avais entendu depuis plusieurs minutes et c'était signe qu'il avait vu une proie, même si je ne parvenais pas à l'attraper, je pouvais tout de même chasser ce qu'il avait en vie. Je senti rapidement l'odeur d'un belette, surement sa proie. Alors qu'il descendait pour l'attraper, je mis a courir aussi vite que possible pour le choper au même moment où il avait sa proie, cela m'avait fait deux pierre en un coup. J'apporter ma double proie à la meute avant d'aller dormir.

Après avoir rapporter mes deux proies chassé cette nuit. Je me rend de nouveau à l'extérieur et renifle l'air, j'entend de drôle de bruit. Je m'approche et vois un rassemblement de bhiche, de faon. Je m'avance doucement, espérant tuer un faon. Je m'élance et cours après le faon, faisant fuir les deux biches qu'il y avait, mais l'une protégea son enfant en se jettant sur moi, je m'enfuis pour ne pas finir écraser, laissant s'enfuir les trois rpoies.

Je me rend dans une clairière, je n'ai pas beosin de sentir les odeur, car je sais que se trouve les créatures majestueuse ici. Je me cache derrière un buisson, je reste à l'affut et vois un faon assez éloigné du troupeau. Je me dirige vers lui en restant discrète, j'attend, bande les muscles et lui saute dessus. Le bruit que je provoque fais fuir ele reste du troupeau, je brise la nuque du jeune petit et le rapporte à la meute sans prendre le temps de courir après le reste du troupeau, c'était bien trop risqué. Je tire son corps assez lourd jusqu'à la meute et le dépose sur le garde-manger.