L'hiver approche et notre meute devras se nourrir davantage, je n'avais pas l'intention de baisser leur régime, et pour cela, j'avais décidé d'aider les chasseurs, de leur donner un petit coup de patte pour que nos congénèrent continue d'être bien remplis pour mieux défendre notre territoire. C'était un choix personnel, mais qui montrait que je m'impliquais bien plus que ce qu'on pourrait le croire, mais aussi cela permettrait de montrer que même avec mon âge avancé, je suis toujours capable du meilleur et qu'on ne pourra pas prendre ma place aussi facilement que certain pourrait le croire.

Je m'était dirigé en dehors de la tanière, marchant sur notre territoire, à l'afus de tout ce qui m'entourait. J'étais un ancien vagabond, chassant pour ma survie, je pouvais réussir à nourir ma meute.

Pour ce premier jour de chasse, j'avais décidé de m'échauffer un peu avant. Tortinnant sur le territoire, j'observais attentivement, ne trouvant rien pour le moment. je ne perdais pas espoir, je savais que je pouvais réussir et que cela aller être une bonne chasse. Les heures passent et je ne vois rien, je n'entend rien. Avec l'hiver, avec le froid, les proies dorment ou se cache. Il est difficile de trouver de la nourriture, surtout en ce temps si peu profitable, mais cela n'est pas grave, il faut savoir s'avouer vaincu quand il le faut, c'est aussi l'un des plaisirs de la chasse, connaître ses limites.

Rentrant sans rien, avec un sourire faible, mais un sourire tout de même, je pris le chemin jusqu'à la tanière pour voir ma famille.

Une magnifique journée, j'avance, je sillonne entre les arbre, je respire l'air frais et l'odeur d'un blaireau attire mon attention. j'approche doucement, je renifle encore, me met à contre vent, bande les muscles lorsque j’aperçois la bête tricolore. Il n'a aucune chance, je respire doucement, je ne vois plus que lui, ne sent plus que lui. Je bande mes muscles, je griffe la terre, j'observe et attend le moment propice. Je saute par dessus mon rocher, je le chope par la peau du dos et le balance à quelques mètre, je me jette de nouveau sur lui, le tenant par la nuque, je serre ma mâchoire et lui brise la nuque.

il m'a griffé le museau, des perles de sang coule, mais rien de grave, je le porte jusqu'à la meute, et le dépose sur le garde-manger.

PJe me rendais à l’extérieur de la meute pour apporter du gibier à la meute. Je me rendis compte que le temps allait bientôt changer et si je voulais avoir une chance d’attraper une proie, je devais me dépêcher. J’observais les alentours, jusqu’à ce que l’odeur nauséabonde d’une moufette arrive dans mes narines. Je m’approche et la vois pas très loin. Elle était assez grosse, mais je devais faire attention à son fluide puant. Bandant les muscles, je me jette sur sa tête tout en étant à l’opposé de son derrière, elle laisse un jet sortir, les plantes obtienne une mauvaise odeur, puis je lui brise la nuque avant de la ramener à la meute. Je la dépose sur le tas de gibier, puis la pluie commence à tomber, je profite de ce temps pour me rafraîchir un peu, j’avais senti l’excitation monter dans mes veines et cela faisait du bien. Me secouant rapidement, j’étais heureux de voir que je n’étais pas complétement rouillé.

C’était la saison des pluies et je savais que l’on pouvait trouver encore des canars a certain endroit et des loutres. Je devais en profiter pour faire une bonne prise. J’approchais de l’endroit où je chassais de temps en temps et l’odeur des mammifères d’eau attira tout de suite mon attention et un sourire sur les babines. Je commençais à plonger mon corps dans le liquide froid et resta en place plusieurs heures. Puis je vis plusieurs loutres jouer ensemble dans l’eau, elles n’avaient plus senti ma présence. Je bande les muscles, puis saute sur l’une d’elle, lui transpercent les organes, l’animal meurent en quelques secondes sans souffrir. J’apporte la proie à la meute, me secouant en sortant de l’eau. J’étais assez content de mes dernières performances, j’avais l’impression de redevenir jeune, de perdre des années depuis que j’avais repris la chasse, me vidant l’esprit des problèmes de meute. Cela faisait du bien de temps en temps de sortir prendre l’air et penser à autre chose.

je m'étais rendu de nouveau vers l'endroit où j'avais chassé la loutre, mais l'odeur grasse de castor m'attira rapidement, il y en avait pas beaucoup ici, leur chair était remplis de protéine, pouvant garder un guerrier sur le champ de bataille. Je l'observais avec attention, bandant les muscles de mon corps, il était hors de l'eau, je n'avais qu'une seule chance. J'attend encore et encore, puis lui saute dessus, lui attrapant la tête dans la mâchoire, je serre, et entant un craquement, j'avais traversé son oeil et tué directement.

Dans la forêt giboisante, je suis aller me promener, faire le tour, vérifier qu'il n'y avait pas d'intrus, rendre visite aux sentinelles et autre. Tout semblait en ordre, puis l'odeur d'un lièvre m'attira, je me suis rendu jusqu'à la source de cette odeur. Je vis alors, un gros lièvre, il était vraiment gras, c'était parfait pour moi. Bandant les muscles, j'analyse chacun de ses fait et geste, il ne ma pas vu, il ne me sens pas, c'est le moment opportun pour moi. Je me dépêche et lui saute dessus, refermant ma machoire sur son corps pour le vider de son sang.

Rapportant la proie à la meute, je salue ceux que je croise.

Je m'enfonce dans la forêt, je profite de chaque seconde en profitant de l'air frais. Une fine pluie s'abbat sur le contient, je respire et continue d'avancer. Je sens au loin une oie sauvage. Je m'approche doucement, elle est entrain de marcher tranquilement. Je respire doucement, je profite de toute ses senteurs pour camoufler mon odeur de prédateur. Bandant les muscles, je me cache quelques minutes, puis marche très lentmeent derrière elle, je voulais lui bondir dessus au dernier moment, mais ma patte frôla une pierre qui roula sur le sol. L'oie se retourne et m'attaque avec son bec avant de prendre son envole.

je rentre sans rien à la meute.

J’étais partis de la meute pour aller chasser. Le temps était calme, idéal même, ni trop chaud, ni trop froid, je me sentais bien, c’était parfait, je pouvais le dire, complètement parfait. J’avançais en humant l’air, je profitais de chaque brise d’air, c’était agréable. Puis l’odeur d’un écureuil attira mon attention. J’approchais, observant ma future proie, elle était petite, mais mieux que rien du tout. J’avançais doucement, me cachant de la petite proie, j’attendais le bon moment avant de lui sauter dessus et de plonger mes crocs dans sa chair. Elle meurt rapidement, et je l’apporte à la meute.

J'étais sortis pour chasser,
la meute avait besoin de proie, j'e devais aider les chasseurs, c'était mon devoir. J'apperçus un rapace au loin, il tourner autour d'une vieille proie, vu l'odeur, elle était encore mengebale, je devais la prendre avant lui, c'était un lièvre. Je bandais les muscles et alor que je m'élançais pour voler ce cadavre, le rapace l'attrape à ma place et s'envole sans que je ne puisse faire quoi que ce soit.

J’étais partis chasser, j’humais l’air, je me laissais transporter dans la vague et suis la piste. C’est celle d’un lièvre. J’approche de son terrier, il n’est pas de danse, mais il va le rejoindre, le soleil se couche, j’avais toute mes chances de l’avoir. Je me cache, et attend, encore et encore, jusqu’à ce que je le voie arriver. A ce moment-là, je lui saute dessus et lui brise la nuque pour le tuer. J’apporte son cadavre à la meute.

Je suis sorti de la meute pour aller chasser, j’avais vite repéré l’odeur d’un blaireau et parti donc en chasse. Je le repérais assez rapidement, bandant les muscles, je me cachais dans les hautes herbes, attendant le moment propice pour le choper. Je me battais contre lui et après plusieurs minutes intenses, je réussi à le tuer et à le tirer jusqu’à la meute pour nourrir la meute.

J'étais sortis chasser, je m'approchais doucement de la proie que j'avais vu, une belle biche, au moment de l'attraper, elle m'avait vu, j'essayais de la rattraper, mais je n'étais plus tout jeune et laissa tomber.En voulant rentrer, je vis un lièvre, bandant les muscles, je pris appuie et l'attrapa d'un seul coup et le tua immédiatement. J'apportais cette proie à a meute, laissant aux autres de le dévorer avec appétit.