Sortant de la meute en laissant Apophis a Lunaire, je pris un sentier que je prenais souvent pour aller chasser. Je sentis l’odeur d’un lièvre, cela faisait longtemps que je n’avais pas chasser de lièvre, c’était l’occasion d’en choper un. J’approchais doucement, me cacher de sa tanière, me plaçant à contre vent. La respiration devenait plus faible, j’étais prête à l’accueillir entre mes crocs. Un faible sourire, je me sentais plutôt en forme aujourd’hui. Bandant les muscles, je saute par-dessus les feuilles et la… Le vent tourne, la créature me regarde, me voie arriver, il panique, il baisse les oreilles, puis fuit dans son terrier. Je gratte encore et encore, plongeant le museau dans le trou, mais je n’attrape rien… Fâché, je rentre à la meute remplit de colère.

J’étais sortis, profitant de l’air, j’avais suivi un sentier, sentant l’odeur d’une proie, c’était un écureuil. Je suivais la trace de la proie, le petit écureuil n’était plus très loin, il allait bientôt finir dans ma gueule. Bandant les muscles, je respirais doucement, fixant mon objectif d’un œil attentif. Je devais ne faire plus qu’un avec la terre, je ne devais pas hésiter, je devais rester confiante.
Roulant mes épaules, je laissais l’excitation prendre le dessus, bondissant de ma cachette, la créature commença à grimper dans son arbre. J’essayais de me dépêcher pour l’attraper par la queue, mais lorsque mes mâchoires se referme, je sens ses poils glisser contre mes canines et le voie monter encore et encore jusqu’à atteindre son trou dans le tronc.

Rentrant à la meute un peu déçue, j’allais retrouver Apophis.

Sortis depuis quelques heures, je sentis soudainement l'odeur d'un raton-laveur. Ces créatures sortent très souvent la nuit, ce sont même des nuisibles. Ce sont de créature vraiment mauvaise, apportant des maladies et peuvent même tuer un nouveau né. Japprochais de la source de cette odeur, ne voulant pas laisser un tel danger aussi prêt de la meute et des tout petit, ce sont des mammifères vraiment rapide pour leur taille.

Poursuivant l'animal sur quelques mètres, je finis par attraper sa queue pour l'attirer vers moi, à cet instant, il me mordit la pattes avant avec force, il ne désirait pas la lâcher, mais je ne devais pas me laisser avoir par la douleur et alors que je me débattais pour retrouver ma patte, cette dernière se posa sur les sol et en quelques secondes mes crocs plongèrent dans sa gorge. Plusieurs litre de sang se déversa sur le sol, et l'animal se retrouva mort. Dégageant ma patte avec peine, je le rapportais a la meute en boitant.

Sortis depuis quelques minutes, regardant partout autour de moi, je chassais que de petites proie depuis quelques temps, je voulais quelques chose de plus gros, de plus imposant, mais l’hiver allait être rude. Au loin, je sentais l'odeur d'un lièvre, j'approchais doucement, me cachant derrière un rocher La tête par-dessus ce dernier j'observais Il y en avait deux en réalité, deux lièvres s’abreuvant dans un petit ruisseau. Je les regardais, mon corps s'abaissait jusqu'à frôler le sol. Contournant le rocher, j'approchais doucement, laissant mes muscles se tendre de plus en plus jusqu'à atteindre leur limite. Griffant le sol, j'échauffais mes épaules. Ma respiration devenait faible, imperceptible. Enfin, c'est ce que je pensais. Un des deux lièvres releva la tête, tournant, ses oreilles dans ma direction. Mes yeux étaient devenus ronds, sans hésiter une seule seconde, je bondissais sur l'un des deux corps. Mes crocs transpercèrent sa chair, lui ôtant la vie, le second s'en allait en bondissant à travers les arbres. Je ne me démoralisais pas, j'avais réussi à en attraper une sur deux, ce n'était pas si mal. Je rentrais encore une fois à la meute, transportant ma victoire jusqu'au tas de gibier.

Le lendemain, je partis de nouveau en quête de nourriture pour la meute, je ne devais pas me laisser faire et aider les chasseurs. On avait de plus en plus de naissance et on devait nourrir les femelels qui allaitait. À contre vent, l’odeur d’un volatile m’attira. Je marchais dans sa direction, laissant mon cœur se rapprocher du sol, guettant ses moindres mouvements. Il picorait la terre, la belle pie, à la recherche de vers. Griffe sortit, je les plantais dans la terre et répétais le mouvement, jusqu’à ce que mon corps soit prêt à sauter sur son petit corps. Brisant sa nuque, il se laissa mourir sans aucun bruit. Portant son cadavre dans ma gueule, je reprenais ma route pour rentrer.

Sur le chemin du retour, l’odeur d’un lièvre attira mon attention. Posant ma proie sur le sol, je l’enterrais pour cacher l’odeur du sang. Me positionnant à contre vent, je le regardais, entrer et sortir de sa tanière. Il était assez imposant pour nourrir un membre de la meute. Accroupis, recommençant ce qu’on m’avait appris. J’attendais le moment propice pour sauter sur le corps de la bête. Ma respiration devenait faible, mon regard ne voyait plus que le petit mammifère. Je fermais les yeux deux secondes, avant de bondir sur le lapin. Cassant sa colonne vertébrale, son os ressortait de son corps.
J’apporta mon lièvre en premier avant d’aller chercher la pie pour la ramener à la meute.

Ce soir là, j'étais sortis chassé, je voulais profiter de la brise nocturne pour me rafraîchir les idées. J'avançais doucement, dans la brume de la nuit, reniflant les diverses odeurs, jusqu'à tomber sur un faon et une biche. Le faon étai une proie idéale, mais je devais m'intéresser plus à la biche qui nous donnerait plus de viande. J'approchais doucement, humant l'air de cette divine odeur. Laissant mes sens prendre le dessus, bandant les muscles, faisant corps avec la terre. J'approchais avec grâce et souplesse. Je ne devais me faire repérer.

Lorsque je bondis pour plonger mes crocs dans la chair de la biche, elle pousse son petit pour le protéger, ce dernier fuit dans les broussailles, courant de plus en plus loin, je me concentre sur la biche, je plonge un peu plus mes crocs pour lui briser la nuque avec l'aide de mes pattes. Puis la tire jusqu'à la meute.

Le lendemain, je sors de nouveau de la tanière, je vais vers ce même setier où je chasse souvent pour me changer les idées j'avance doucement, reniflant l'air, jusqu'à sentir l'odeur d'un lièvre. J'approche doucement, tapis dans les ombres, je me fais discrète pour ne pas faire fuir la petite bête. la rater serait une honte pour moi, nous avions besoin de cette proie. Concentré, je laissais mes épaules rouler pour détendre mes muscles, puis banda les muscles.

Je retenais ma respiration, jusqu'à ce qu'elle deviennent faible, puis, saute sur la créature, qui se met à déraper, elle court, je la suis, puis vire à gauche, je fais un dérapage, en me prenant un arbre, puis elle saute dans son terrier. je creuse, j'essaie de l'attraper, mais rien a faire, je l'avais perdu.

Sortis depuis quelques heures, dans l'espoir de trouver une proies, ou peut-être même plusieurs, je partis en direction d'un endroit que j'aimais visiter quand j'étais avec mon frère ’approchais de la clairière ayant repéré l’odeur d’un chevreuil. J’avançais d’un pas lent, faisant attention aux moindres cailloux sur le sol. A contre vent, je guettais ses moindres mouvements. Diminuant ma respiration, je ne voulais pas rater cette prise du jour. Laissant mon instinct de prédateur me guidait, j’avançais entre les arbres. Il mangeait tranquillement. J’approchais encore et avant qu’il ne sente ma présence, je lui avais sauté sur l’encolure et mordais férocement sa peau. Traversant sa chair, je poussais avec mes pattes avant et arrière, créant ainsi une force opposée qui brisa sa nuque. La bête tomba sur le sol avec moi. J’eu du mal à me relever, mais je n’avais eu aucune blessure. Cette action avait fait du bruit et je voyais bien les autres mammifères s’en allait devant la mort qui leur pendait au museau. Je tirais le chevreuil jusqu’à la meute, le tirant de tout mes forces pour éviter de faire une mauvaise rencontre.

Retournant vers la clairière, je longeait les buissons, allant jusqu'à plus profondément dans la forêt. Je sentis rapidement l'odeur d'un sanglier. Je me dirigeais vers ce dernier jusqu'à le voir. Je m'avançais doucement pour pas qu'il me sente, c'était un vieux mâle, mais je devais faire tout de même attention. Je bandait mes muscles avant de lui sauter dessus. Je plonge mes crocs dans la chair de son dos et le sens remuer sauvagement. Je tombe, mais ne faiblit pas et continuer de l'attaquer plusieurs fois jusqu'à ce qu'il tombe de fatigue et que ej l'achève. Cela avait duré un long moment, j'était tout aussi fatigué, mais le tira tout de même a le ramener

Sortie de la meute, tout comme la veille, je profitais qu'il ne pleuvait pas pour aller chasser. J'avanças jusqu'à voir une belette courir dans son terrier. Je ne voulais pas la laisser passer et longea le sol en frottant mon ventre contre le sol. J'avais l'impression d'être un lynx dans cette position. Je continuais jusqu'à sentir son odeur et gratta le trou dans lequel elle était passé pour la voir sortit. Comme je m'y attendais, elle sortit en un éclair, en montrant ses petites dents qui avait la taille d'une brindille, mais elle était suffisamment dévastatrice pour me faire du mal. Je faisais attention à ce qu'elle ne me morde pas, et dans une rotation j'attrapais son cou pour le briser à l'aide de mes crocs. J'enterrai par la suite son corps sans vie et partie à la recherche d'une autre proie. Je sentis bien vite l'odeur d'un lièvre. Je me dirigeais dans la même direction, sentant cette chair bien tendre et juteuse. Je l'observais, il était bien plus gros que la moyenne, cela allait être vraiment délicieux. Je bandais mes muscles, attendant qu'il baisse la tête pour lui sauter dessus sans qu'il ne s'en aperçoive. Je l'attrapais par le dos et fracassa son crâne contre une pierre pour le tuer le plus vite possible. je porta mes deux proies à la meute.

Sortis pour chasser, j'avancer dans l'herbe, j'avais sentis l'odeur de plusieurs lièvres. Il n'y avait plus grand chose à chasser avec la saison froide, je devais donne faire avec ce que je trouvais. Je me positionnais pour attraper au moins un des deux lièvres qu'il y avait. Bandant les muscles de mes pattes, mon corps sauta rapidement sur les deux, jugeant assez mal la distance, mes crocs se fermèrent dans la poussière, j'avais fait tellement de bruit, que les deux ont eu le temps de s'enfuir dans leur terrier. Je continuais ma ronde, avec l'espoir de trouver quelque chose, mais rien, rentrant à la meute sans rien.

Sondant le sol, je m'approche d'un faisan bien dodu. Je restais a contre vent, bandant les muscles pour l'avoir, je ne devais pas le louper, je n'avais le droit qu'à une seule tentative, après il s’enfuirait. Le vent commença à tourner, la pluie à tomber, la créature relève la tête devant les petits grondement du ciel. Je saute par dessus les hautes herbes pour le piégé, sans attendre une seconde de plus, l'oiseau s'envole dans le ciel, je sais à présent que je n'ai plus aucune chance de l'attraper.

Sortis depuis plusieurs minutes, j'humais l'air en attendant l'effluve d'une douce proie. J'avance encore et encore, je marche sans m'arrêter, et la une biche, seule, m'attend sur un plateau d'argent. J'approche, me mettant à contre vent, pour pas qu'elle ne me repère. Je respire doucement pour ne pas faire de bruit, bande les muscles et m'élance vers la biche. Je lui cours après, puis lui saute dessus, la mort violement au flanc, elle fini par s'écrouler sur le sol à cause de la douleur, elle bat rapidement des jambes, essayant de se relever du mieux qu'elle pouvait. Elle panique et même si au fond ca me fait plaisir, je la tue rapidement pour ne pas la faire souffrir trop longtemps.

Je tire le corps sans vie de la pauvre bête jusqu'à la meute.

J’étais sortis pour aller chasser toute seule, encore une fois. Je ne faisais pas attention au bruit qui m’entourais et laissais l’univers de la chasse prendre le dessus sur mes pulsions. J’approchais doucement d’un endroit où les marmottes étaient en abondance. Je sentais leur douce odeur de mammifère mouillé. Approchant doucement, je me lançai sur la première femelle que j’avais aperçut. Elle était bien grâce et son sacrifice était exemplaire.

Portant ma proie, je continuais à examiner les alentour, l’odeur du sang de la pauvre bête masquait la mienne, ainsi, j’espérais que d’autres mammifères viennent par curiosité. Seulement, ainsi, sans me cacher, je venais de faire fuir une biche dans le sous-bois, mais je ne me laisserais pas vaincu aussi facilement, car une chèvre n’était plus très loin, déposant ma proie, je venais de l’enterrer.

Avançant vers la créature, je me tenais prête à l’attraper, au moment de mon saut, la chèvre disparue à cause d’un de ses congénères qui venait de faire un éboulement de pierre. Je repris ma proie et l'apporta à la meute la tête haute.